Mergler monta en en voiture avec les ravisseurs et Cross et ils se dirigèrent vers le consulat cubain après être sorti du garage du 10945 des Récollets (Demers, s.d., paragr. 10). Vers 20h, l'avion qui devaient transporter les ravisseurs et leurs proches vers Cuba décolla (Demers, s.d., paragr. 11).
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27 mars 1970 : la Nuit de la poésie
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13 au 24 août 1974 : la Superfrancofête à Québec
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La Nuit de la poésie de 1970 a réuni environ 4000 spectateurs au Gesù de Montréal suite à l'initiative des cinéastes Jean-Claude Labrecque et Jean-Pierre Masse (Brissette, 2014, p.55). Ils utilisèrent leurs fonds de l'ONF afin de réaliser cette soirée qui allait donner naissance au documentaire du même nom (Brissette, 2014, p.55). Cet événement, et plus particulièrement le poème Speak White de Michèle Lalonde marqua le Québec par sa grande célébration de la langue nationale (Brissette, 2014, p.56).
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En 1974 a eu lieu la Superfrancofête dans la ville de Québec, qui a permis de rassembler et de célébrer la francophonie internationale (UDES, s.d., p.1). Au cours de la soirée d'ouverture du festival, les grands noms de la chanson québécoise (Félix Leclerc, Robert Charlebois, Gilles Vigneault, etc.) se sont regroupés sur scène devant plus de 100 000 spectateurs venus de partout dans le monde (UDES, s.d., p.1). La diversité des cultures et les 800 000 spectateurs qui se sont déplacés pour cet événement ont rendu ce festival mémorable (UDES, s.d., p.1).
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26 août 1977 : adoption de la Loi 101
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21 septembre 1979 : Lise Payette devient ministre de la Condition féminine
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Le gouvernement de René Lévesque, chef du Parti Québécois, fait adopter la Charte de la langue française à l'Assemblée Nationale avec 54 voix contre 32 (UDES, s.d., p.1). Introduite par Camille Laurin, ministre du Développement culturel, cette loi rend notamment le français la langue officielle du système judiciaire de la province et oblige les commerces à effectuer leur affichage dans cette langue (UDES, s.d., p.1). Cette loi représente une affirmation identitaire de taille pour la nation québécoise.
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Lise Payette sera un visage prépondérant du droit des femmes en devenant la ministre du ministère de la Condition féminine, créé dans les mêmes années par le gouvernement de René Lévesque (UDES, s.d., p.1). Elle modifiera certaines lois du travail en ajoutant des congés de maternité et retrait préventif pour les femmes enceintes, en plus de militer pour de multiples causes féministes comme l'instauration des centres d'intervention pour femmes et les services de garde (UDES, s.d., p.1)
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1er juin 1974 : accident mortel aux Éboulements
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4 mars 1971 : la tempête du siècle
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En route pour une visite à l'Île-aux-Coudres, un autobus de 44 personnes du club de l'Âge d'or rata un virage près du village des Éboulements (UDES, s.d., p.1). Causé par une défectuosité des freins, cet accident aura coûté la vie à 13 passagers (UDES, s.d., p.1). Qualifié de deuil collectif par le maire de La Tuque, Lucien Filion, cette tragédie se reproduira en 1997 mais causera cette fois-ci la mort 44 Québécois originaires de Saint-Bernard en Beauce (Delisle, 2010, p.1)
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La plus grosse tempête de neige que le Québec ait connu en plusieurs décennies s'abat sur la province le 4 mars 1971 (UDES, s.d., p.1). Or, ce ne sont pas les 50 cm de neige qui tomberont sur la province qui lui donneront le titre de la tempête du siècle mais plutôt les violentes rafales de vent atteignant les 100km/h (UDES, s.d., p.1). Seules les motoneiges pourront circuler dans les villes en toute sécurité (UDES, s.d., p.1). Une trentaine de morts seront dénombrés suite à ce déferlement de neige du 4 mars (UDES, s.d., p.1).
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